INFO
COURRIEL
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ne pouvez pas lire nos messages merci de nous le faire savoir.
Le chef de l'Etat a reçu,
vendredi à l'Elysée, les représentants des organisations syndicales et
patronales
M. Sarkozy lâche du lest sur le
service minimum
LE MONDE | 26.05.07 | 12h47
C'est peut-être la force de la méthode Sarkozy.
En sortant de leur rencontre avec le président de la République, vendredi 25
mai, chacun des partenaires sociaux a cru entendre dans ce que lui disait
Nicolas Sarkozy une confirmation de ce qu'il était plus ou moins venu
chercher. Ce qui, à la sortie, donne des syndicalistes et des patrons plutôt
contents. Le risque existe alors, une fois les éclaircissements apportés, de
la déception.
Baylet relève de
"réelles convergences avec la nouvelle vision" de Sarkozy
25/05/2007 19:46
Marianne INFO
PARIS (AFP) - Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG),
relève de "réelles convergences avec la nouvelle vision exprimée" par
Nicolas Sarkozy, "beaucoup moins à droite que sa campagne", dans un courrier
aux militants PRG dont l'AFP a eu copie vendredi.
L'envoi de ce courrier survient alors que M. Baylet a obtenu mercredi la
confiance du bureau national du PRG sur l'ouverture d'un "débat" avec le
parti radical co-présidé par Jean-Louis Borloo, après les élections
législatives.
Dans ce message, le président du PRG relate son entretien avec le nouveau
président le 15 mai qui lui "a exposé sa conception du pays: beaucoup moins
à droite que sa campagne (...) beaucoup plus soucieuse que son programme de
l'impératif de solidarité, beaucoup moins atlantiste en politique
extérieure".
Allègre: «Le PS a
fait de l'incompétence le gage de la démocratie»
Claude Allègre, fidèle de Jospin, critique François Hollande
et Ségolène Royal.
Par Alain AUFFRAY
LIBERATION QUOTIDIEN : samedi 26 mai 2007
A plusieurs reprises, Claude Allègre,
fidèle de Lionel Jospin, a été contacté à par Nicolas Sarkozy qui aurait
souhaité le nommer dans le gouvernement Fillon. L'ancien ministre de
l'Education nationale explique les raisons de son refus.
Que vous a proposé Nicolas Sarkozy ?
Il m'a proposé d'être ministre. Le
projet de réformer la recherche et l'enseignement supérieur français en y
mettant des moyens importants, sur lesquels il s'est engagé, est pour moi
fondamental pour l'avenir de notre pays. Ce projet doit dépasser les
clivages politiques. Pourtant j'ai décliné l'offre. C'était une décision
difficile. Il y a d'abord des réserves personnelles : je me suis beaucoup
réinvesti dans des recherches que j'ai besoin de concrétiser. Mais il y a,
sur le fond, une autre réserve : mes convictions de gauche étant intactes,
je pouvais difficilement m'engager à être solidaire de l'ensemble de la
politique gouvernementale. Cette politique, je ne la vois pas encore
clairement. Même si Sarkozy a donné des garanties démocratiques.
Les ménages
aisés, seuls bénéficiaires d'une réforme des droits de succession
LE MONDE | 25.05.07 | 13h09 • Mis à jour le 25.05.07 |
16h16
En proposant d'exonérer de droits de
succession 95 % des Français, une promesse réitérée, jeudi 24 mai, par le
ministre des comptes publics, Nicolas Sarkozy avait plusieurs fois fait
valoir, pendant la campagne présidentielle, que cette mesure concernait "les
patrimoines petits et moyens". En réalité, du fait des abattements existants
- un abattement global de 50 000 euros et des abattements individuels de 76
000 euros pour le conjoint survivant et de 50 000 euros par enfant -, les
patrimoines petits et moyens sont déjà non imposables en France. Ce sont
donc les patrimoines plus importants détenus par les ménages aisés - au
sommet de la hiérarchie des revenus, 10 % d'entre eux détiennent 46 % du
patrimoine - que vise le projet de M. Sarkozy.