INFO
COURRIEL
Si vous
ne pouvez pas lire nos messages merci de nous le faire savoir.
LES VOEUX ANIMES
DU MRC 92 POUR
2006
AUDITORIUM DU
CONSERVATOIRE
11-13 boulevard
Carnot 92340 Bourg-La-reine
Les Jeunesses Citoyennes, les jeunes du Mouvement
Républicain et Citoyen, vous convient à une rencontre dont le thème
sera:
« Qu’appelle t-on le libéralisme
économique ? »
Le
Samedi 21 janvier 2006
A partir de 14h00
au siège parisien du M.R.C. 2 rue Jules
Verne 75011 PARIS
Métro: Belleville (lignes 2 et 11)
Avec Philippe DEHAY
Enseignant de l’Université Président de l’Union
Citoyenne Gaulliste.
La
rencontre sera suivie d’un apéritif amical en compagnie de notre invité
Renaud RAMILLON DEFFARGES
Secrétaire national à la
Jeunesse du M.R.C.
&
Les Jeunesses Citoyennes, les Jeunes
du Mouvement Républicain et Citoyen
Vous présentent leurs Meilleurs Voeux pour
2006.
Nos deux derniers tracts sur la
directive BOLKESTEIN
Conflit
Est-Ouest entre socialistes sur les délocalisations
Le Belge Alain Hutchinson et le Tchèque Richard Falbr sont
d'anciens syndicalistes, élus députés européens en juin 2004 et membres du
groupe socialiste. Mais ils n'ont pas du tout le même point de vue sur les
délocalisations au sein de l'Union européenne. "Il y a un véritable
affrontement Est-Ouest", assure M. Hutchinson, qui a obtenu le titre de
rapporteur sur cette question, mais qui n'est pas encore parvenu à faire
adopter son texte, "en raison de l'arrivée inopinée de centaines
d'amendements tchèques, polonais, slovaques ou hongrois, à l'heure du vote".
Reporté plusieurs fois, celui-ci est maintenant prévu pour le 24 janvier.
"Mon principal adversaire est mon collègue Richard Falbr", précise-t-il.
Communiqué de
Georges SARRE - Premier Secrétaire du MRC
Révision de la Constitution : il faut respecter le vote du 29
mai 2005.
Le Président de la République a annoncé son intention de convoquer le Parlement
en Congrès pour réviser la Constitution. Il faut en profiter pour rétablir la
Constitution française dans une version conforme au vote populaire du 29 mai
2005.
Le M.R.C. se félicite du choix du Président de la République d’inscrire dans la
Constitution française l’abolition de la peine de mort, que nous avons portée en
son temps avec le Président François MITTERRAND.
Attac diplomatique à la
direction du «Monde diplo»
Le rédacteur en chef du mensuel très lié à l'association
altermondialiste a jeté l'éponge.
Après des mois de tensions internes, Alain Gresh a jeté l'éponge. Le
rédacteur en chef du Monde diplomatique a rendu ses galons en novembre. L'un
de ses proches, Dominique Vidal, a abandonné ses fonctions de rédacteur en
chef adjoint. Pour les mêmes raisons.
Les deux hommes souhaitaient tenir le mensuel à l'écart des combats
d'appareil et des rivalités qui agitent Attac. L'association
altermondialiste phare, très liée à la direction du Monde diplomatique, est
secouée par une crise interne. Son équipe dirigeante, constituée notamment
de Jacques Nikonoff, président, et de Bernard Cassen, président d'honneur,
est contestée pour ses méthodes, jugées autoritaires, et ses orientations.
Ci-après deux articles
sur un thème développé par Jean-Pierre Chevènement lors de la présidentielle
2002
Cotisations : le choix risqué de la
valeur ajoutée Expérimentation Une première étape d'élargissement des
cotisations patronales serait engagée dès la fin de l'année.
SI LE
CALENDRIER de la réforme du financement social est posé – une «décennie» –,
les questions restent multiples. Veut-on prélever plus ou prélever mieux ?
S'il s'agit de prélever plus, quelles que soient les modalités retenues,
cela pèsera sur la croissance et donc l'emploi. La maîtrise des dépenses
doit donc rester l'objectif premier. S'il s'agit de prélever mieux,
c'est-à-dire autrement qu'aujourd'hui où l'essentiel repose sur les
salaires, cela mérite débat. En gardant à l'esprit que les marges de
manoeuvre sont étroites, qu'aucune «assiette» n'est parfaite et que s'il
existait une martingale, il y a longtemps qu'on l'aurait trouvée, nous ou
les pays alentour ! Il faut donc choisir entre différents inconvénients pour
trouver le prélèvement le plus neutre pour l'emploi et celui qui soit le
plus en ligne avec l'activité (voir graphique).
Méfiance patronale, prudence
syndicale Une fois n'est pas coutume, c'est du camp patronal que sont venues
les principales critiques.
A L'ÉVIDENCE, la proposition de
transférer les cotisations patronales des salaires sur la valeur ajoutée a
laissé les chefs d'entreprise dubitatifs. La présidente du Medef a en tout
cas estimé qu'avant d'engager une telle réforme, il fallait y «réfléchir de
manière pragmatique». «Asseoir la cotisation patronale sur la valeur
ajoutée, c'est pénaliser l'investissement, notamment dans les nouvelles
technologies, puisque c'est charger les investissements de cotisations
qu'ils ne subissent pas aujourd'hui», a prévenu Laurence Parisot.
La suite :
http://mrc92.free.fr/INFO-COURRIEL/68.htm

2005 Un bilan en
demi-teinte
En ce qui concerne la limitation des émissions de gaz à
effet de serre, l’année 2005 s’est terminée par le demi-succès ou le
demi-échec de la conférence de Montréal, selon que l’on considère le verre à
moitié plein ou à moitié vide. Les discussions sur l’après Kyoto pourront se
tenir. Mais, pendant ce temps les émissions de gaz à effet de serre
continueront à croître.
On peut espérer que l’Europe respectera globalement ses objectifs de Kyoto
mais il n’y a pas là matière à pavoiser puisque cette « performance » n’est
rendue possible que grâce à l’adhésion des dix pays de l’Europe de l’Est
dont les consommations comme celle de la Russie ont fortement diminué du
fait de l’effondrement du communisme. De même, l’Allemagne devrait respecter
ses objectifs grâce à l’intégration de l’Allemagne de l’Est. L’Angleterre
fera sans doute mieux que ses objectifs. Cette bonne performance est due à
sa désindustrialisation ainsi qu’au remplacement du charbon par le gaz dont
l’Angleterre est grande productrice ; mais, au-delà de 2010, ces effets
d’aubaine auront pratiquement disparu. Grâce à la mise en œuvre du système
de permis d’émission et à celle du plan climat, la France devrait, elle
aussi, être près d’atteindre son objectif. Selon l’Agence Européenne de
l’Environnement, l’Espagne, le Portugal et l’Irlande auront des déficits
considérables de 33, 26 et 16% respectivement qu’on peut attribuer au
développement rapide de ces pays. La grande surprise vient du Danemark qui
s’était bravement engagé à réduire ses émissions de 21% mais devrait les
augmenter de 16 %, soit un déficit par rapport au but fixé de 37%. Cet échec
est d’autant plus frappant et préoccupant que le Danemark a, plus que
d’autres, recherché la diminution de son intensité énergétique, le
développement de l’énergie éolienne et celui de la cogénération. Mais il n’a
pas pu diminuer massivement son emploi du charbon pour sa production
d’électricité. Il s’est lancé, comme l’Espagne, dans une politique d’achat
de droits à émission aux pays de l’Europe de l’Est. Le Danemark et
l’Allemagne continuent à émettre 50% plus de gaz carbonique par tête que la
France ou la Suède.
Le gaz, une énergie propre et sûre ?
Après l’envol des prix du pétrole en 2005, l’année 2006 commence par la
démonstration que la livraison du gaz et son transport peuvent devenir des
armes politiques redoutables. La France et l’Europe vont-elles en tirer la
conclusion qu’il faut diminuer aussi vite que possible leur dépendance à
l’égard de cette source d’énergie fossile ? Non seulement la dépendance
croissante de l’économie européenne vis-à-vis du gaz peut présenter des
dangers politiques mais le développement de l’utilisation du gaz pose la
question de son effet sur les émissions de gaz à effet de serre. Certes, à
fourniture égale d’énergie utilisable égale, le gaz produit moins de gaz
carbonique que le fioul ou, surtout, le charbon. C’est ainsi qu’on estime
que, pour la production d’électricité, les centrales à charbon émettent près
d’un kilo de gaz carbonique par kWh produit, alors que les centrales à gaz
n’en émettent qu’un demi. Mais la production et le transport de gaz sont
accompagnés de fuites de méthane dont l’ampleur dépend de la qualité des
équipements (par exemple l’étanchéité des gazoducs). Or, au moins à moyen
terme, le méthane est un gaz à effet de serre beaucoup plus efficace que le
gaz carbonique. Des fuites de 5% donnent une contribution à l’effet de serre
équivalente à la combustion du gaz proprement dite. Dans ces conditions, et
en ce qui concerne le réchauffement climatique, affirmer que le gaz est une
énergie propre relève de l’escroquerie intellectuelle.
La libéralisation des services publics
détruit de l’emploi
La Commission reconnaît que
l’emploi est tombé à son niveau de 1980 dans certains services ouverts à la
concurrence. Mais pour Bruxelles, la libéralisation est globalement
positive.
La Commission reconnaît du bout des lèvres que la libéralisation de
certains services publics détruit de l’emploi. Selon un rapport publié à la
veille de Noël, le nombre de personnes employés dans les industries de
réseaux (télécommunications, transports, énergie, eau) a retrouvé en 2002
son niveau de… 1980. Soit 8,7 millions de travailleurs parmi les Quinze
anciens Etats membres. Entre 2001 et 2002, 50.000 employés ont été rayés de
ces services d’intérêt économique généraux (SIEG), selon la dénomination
bruxelloise.
La situation varie selon les secteurs : l’eau, le gaz et l’électricité ont
perdu 17% de leurs salariés entre 1996 et 2002. Même les télécoms ont connu
une baisse de 6% entre 2001 et 2003 – après, toutefois, un boom de 24% entre
1995 et 2001. Les entreprises de transports s’en sortent mieux, avec
notamment une hausse de 19% dans l’aérien.
La France revoit à la baisse son "patriotisme
économique"
Le gouvernement français a dû revoir son discours sur le
"patriotisme économique" à la baisse. Annoncé en grande pompe à la fin de
l'été par le premier ministre, Dominique de Villepin, dans la foulée de
l'affaire Danone, qui avait craint un temps de passer sous la bannière
hostile du géant américain PepsiCo, le décret protégeant le patrimoine
économique a été restreint — à l'exception des jeux d'argent — aux seuls
secteurs liés à la défense.
De plus, ce texte, publié en catimini, samedi 31 décembre, au Journal
Officiel, a été amputé par rapport au projet initial. Paris voulait une
seule et unique liste de quinze secteurs. Finalement, le gouvernement a dû
réduire à onze le nombre de domaines d'investissements soumis à
"autorisation préalable" pour toute entreprise étrangère à la Communauté
européenne.
SONDAGE
Quelles sont, à votre avis,
les pages glorieuses et les pages sombres de l'histoire de France ?
4616 avis exprimés
Question 2 : Qu'est-ce qui vous rend fier quand vous pensez
à l'histoire de la France ?
Ses grandes découvertes scientifiques et
techniques 53 %
Ses grands explorateurs 12 %
Ses grands hommes d'Etat 19 %
Ses victoires militaires 11 %
Son rayonnement dans le monde 39 %
Sa pratique de la colonisation 7 %
Son rôle dans le développement des droits de
l'homme
54
%
L'instauration de la République 44 %
La tradition révolutionnaire 27 %
Rien de tout cela 4 %